Les vieilles passantes
A toutes les passantes
Que l’on ne voit plus
Ainsi qu’aux amantes
Que l’on n’a pas revues
A nos élégantes
A peine entrevues
Ainsi qu’aux galantes
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
A toutes les femmes secrètes
Je confie cette chansonnette
Je sais que sous leurs manteaux gris
Se cache des folies pleines de vie
Que leurs mains sont encore vernies
Comme quand elles étaient petites filles
A toutes nos servantes
Que l’on a émues
Ainsi qu’aux constantes
Que l’on a déçues
A nos insolentes
A peine aperçues
Ainsi qu’aux collantes
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
Je veux effleurer leur destin
Être passager clandestin
Je sais que sous leurs cheveux gris
Se cachent une mélancolie
Qu’elles partagent avec leurs amies
Comme quand elles étaient petites filles
A nos impatientes
Que l’on n’attend plus
Ainsi qu’aux vaillantes
Que l’on entend plus
A nos innocentes
A peine dévêtues
Ainsi qu’aux savantes
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui étaient prises
Qui vivent désormais des heures grises
Je veux égayer leur chagrin
Être l’épisode du chemin
Je sais que derrière leurs yeux gris
Se cachent des amours transis
Dont elles rêvent chaque nuit
Comme quand elles étaient petites filles
A toutes nos princesses
Qui n’espèrent plus
Ainsi qu’aux déesses
Que l’on n’a pas connues
A toutes les pécheresses
A peine retenues
Ainsi qu’aux maîtresses
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
Je veux dédier ce poème
Comme jadis à celle que l’on aime
Je sais que sous leurs silhouettes
Toujours gracieuses et fluettes
Elles regrettent les lèvres absentes
De n’avoir été que passantes
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Les vieilles passantes
A toutes les passantes
Que l’on ne voit plus
Ainsi qu’aux amantes
Que l’on n’a pas revues
A nos élégantes
A peine entrevues
Ainsi qu’aux galantes
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
A toutes les femmes secrètes
Je confie cette chansonnette
Je sais que sous leurs manteaux gris
Se cache des folies pleines de vie
Que leurs mains sont encore vernies
Comme quand elles étaient petites filles
A toutes nos servantes
Que l’on a émues
Ainsi qu’aux constantes
Que l’on a déçues
A nos insolentes
A peine aperçues
Ainsi qu’aux collantes
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
Je veux effleurer leur destin
Être passager clandestin
Je sais que sous leurs cheveux gris
Se cachent une mélancolie
Qu’elles partagent avec leurs amies
Comme quand elles étaient petites filles
A nos impatientes
Que l’on n’attend plus
Ainsi qu’aux vaillantes
Que l’on entend plus
A nos innocentes
A peine dévêtues
Ainsi qu’aux savantes
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui étaient prises
Qui vivent désormais des heures grises
Je veux égayer leur chagrin
Être l’épisode du chemin
Je sais que derrière leurs yeux gris
Se cachent des amours transis
Dont elles rêvent chaque nuit
Comme quand elles étaient petites filles
A toutes nos princesses
Qui n’espèrent plus
Ainsi qu’aux déesses
Que l’on n’a pas connues
A toutes les pécheresses
A peine retenues
Ainsi qu’aux maîtresses
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
Je veux dédier ce poème
Comme jadis à celle que l’on aime
Je sais que sous leurs silhouettes
Toujours gracieuses et fluettes
Elles regrettent les lèvres absentes
De n’avoir été que passantes
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Les vieilles passantes
A toutes les passantes
Que l’on ne voit plus
Ainsi qu’aux amantes
Que l’on n’a pas revues
A nos élégantes
A peine entrevues
Ainsi qu’aux galantes
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
A toutes les femmes secrètes
Je confie cette chansonnette
Je sais que sous leurs manteaux gris
Se cache des folies pleines de vie
Que leurs mains sont encore vernies
Comme quand elles étaient petites filles
A toutes nos servantes
Que l’on a émues
Ainsi qu’aux constantes
Que l’on a déçues
A nos insolentes
A peine aperçues
Ainsi qu’aux collantes
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
Je veux effleurer leur destin
Être passager clandestin
Je sais que sous leurs cheveux gris
Se cachent une mélancolie
Qu’elles partagent avec leurs amies
Comme quand elles étaient petites filles
A nos impatientes
Que l’on n’attend plus
Ainsi qu’aux vaillantes
Que l’on entend plus
A nos innocentes
A peine dévêtues
Ainsi qu’aux savantes
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui étaient prises
Qui vivent désormais des heures grises
Je veux égayer leur chagrin
Être l’épisode du chemin
Je sais que derrière leurs yeux gris
Se cachent des amours transis
Dont elles rêvent chaque nuit
Comme quand elles étaient petites filles
A toutes nos princesses
Qui n’espèrent plus
Ainsi qu’aux déesses
Que l’on n’a pas connues
A toutes les pécheresses
A peine retenues
Ainsi qu’aux maîtresses
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
Je veux dédier ce poème
Comme jadis à celle que l’on aime
Je sais que sous leurs silhouettes
Toujours gracieuses et fluettes
Elles regrettent les lèvres absentes
De n’avoir été que passantes
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Que l’on ne voit plus
Ainsi qu’aux amantes
Que l’on n’a pas revues
A nos élégantes
A peine entrevues
Ainsi qu’aux galantes
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
A toutes les femmes secrètes
Je confie cette chansonnette
Je sais que sous leurs manteaux gris
Se cache des folies pleines de vie
Que leurs mains sont encore vernies
Comme quand elles étaient petites filles
A toutes nos servantes
Que l’on a émues
Ainsi qu’aux constantes
Que l’on a déçues
A nos insolentes
A peine aperçues
Ainsi qu’aux collantes
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
Je veux effleurer leur destin
Être passager clandestin
Je sais que sous leurs cheveux gris
Se cachent une mélancolie
Qu’elles partagent avec leurs amies
Comme quand elles étaient petites filles
A nos impatientes
Que l’on n’attend plus
Ainsi qu’aux vaillantes
Que l’on entend plus
A nos innocentes
A peine dévêtues
Ainsi qu’aux savantes
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui étaient prises
Qui vivent désormais des heures grises
Je veux égayer leur chagrin
Être l’épisode du chemin
Je sais que derrière leurs yeux gris
Se cachent des amours transis
Dont elles rêvent chaque nuit
Comme quand elles étaient petites filles
A toutes nos princesses
Qui n’espèrent plus
Ainsi qu’aux déesses
Que l’on n’a pas connues
A toutes les pécheresses
A peine retenues
Ainsi qu’aux maîtresses
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
Je veux dédier ce poème
Comme jadis à celle que l’on aime
Je sais que sous leurs silhouettes
Toujours gracieuses et fluettes
Elles regrettent les lèvres absentes
De n’avoir été que passantes
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Que l’on n’a pas revues
A nos élégantes
A peine entrevues
Ainsi qu’aux galantes
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
A toutes les femmes secrètes
Je confie cette chansonnette
Je sais que sous leurs manteaux gris
Se cache des folies pleines de vie
Que leurs mains sont encore vernies
Comme quand elles étaient petites filles
A toutes nos servantes
Que l’on a émues
Ainsi qu’aux constantes
Que l’on a déçues
A nos insolentes
A peine aperçues
Ainsi qu’aux collantes
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
Je veux effleurer leur destin
Être passager clandestin
Je sais que sous leurs cheveux gris
Se cachent une mélancolie
Qu’elles partagent avec leurs amies
Comme quand elles étaient petites filles
A nos impatientes
Que l’on n’attend plus
Ainsi qu’aux vaillantes
Que l’on entend plus
A nos innocentes
A peine dévêtues
Ainsi qu’aux savantes
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui étaient prises
Qui vivent désormais des heures grises
Je veux égayer leur chagrin
Être l’épisode du chemin
Je sais que derrière leurs yeux gris
Se cachent des amours transis
Dont elles rêvent chaque nuit
Comme quand elles étaient petites filles
A toutes nos princesses
Qui n’espèrent plus
Ainsi qu’aux déesses
Que l’on n’a pas connues
A toutes les pécheresses
A peine retenues
Ainsi qu’aux maîtresses
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
Je veux dédier ce poème
Comme jadis à celle que l’on aime
Je sais que sous leurs silhouettes
Toujours gracieuses et fluettes
Elles regrettent les lèvres absentes
De n’avoir été que passantes
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
A peine entrevues
Ainsi qu’aux galantes
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
A toutes les femmes secrètes
Je confie cette chansonnette
Je sais que sous leurs manteaux gris
Se cache des folies pleines de vie
Que leurs mains sont encore vernies
Comme quand elles étaient petites filles
A toutes nos servantes
Que l’on a émues
Ainsi qu’aux constantes
Que l’on a déçues
A nos insolentes
A peine aperçues
Ainsi qu’aux collantes
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
Je veux effleurer leur destin
Être passager clandestin
Je sais que sous leurs cheveux gris
Se cachent une mélancolie
Qu’elles partagent avec leurs amies
Comme quand elles étaient petites filles
A nos impatientes
Que l’on n’attend plus
Ainsi qu’aux vaillantes
Que l’on entend plus
A nos innocentes
A peine dévêtues
Ainsi qu’aux savantes
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui étaient prises
Qui vivent désormais des heures grises
Je veux égayer leur chagrin
Être l’épisode du chemin
Je sais que derrière leurs yeux gris
Se cachent des amours transis
Dont elles rêvent chaque nuit
Comme quand elles étaient petites filles
A toutes nos princesses
Qui n’espèrent plus
Ainsi qu’aux déesses
Que l’on n’a pas connues
A toutes les pécheresses
A peine retenues
Ainsi qu’aux maîtresses
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
Je veux dédier ce poème
Comme jadis à celle que l’on aime
Je sais que sous leurs silhouettes
Toujours gracieuses et fluettes
Elles regrettent les lèvres absentes
De n’avoir été que passantes
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
A toutes les femmes secrètes
Je confie cette chansonnette
Je sais que sous leurs manteaux gris
Se cache des folies pleines de vie
Que leurs mains sont encore vernies
Comme quand elles étaient petites filles
A toutes nos servantes
Que l’on a émues
Ainsi qu’aux constantes
Que l’on a déçues
A nos insolentes
A peine aperçues
Ainsi qu’aux collantes
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
Je veux effleurer leur destin
Être passager clandestin
Je sais que sous leurs cheveux gris
Se cachent une mélancolie
Qu’elles partagent avec leurs amies
Comme quand elles étaient petites filles
A nos impatientes
Que l’on n’attend plus
Ainsi qu’aux vaillantes
Que l’on entend plus
A nos innocentes
A peine dévêtues
Ainsi qu’aux savantes
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui étaient prises
Qui vivent désormais des heures grises
Je veux égayer leur chagrin
Être l’épisode du chemin
Je sais que derrière leurs yeux gris
Se cachent des amours transis
Dont elles rêvent chaque nuit
Comme quand elles étaient petites filles
A toutes nos princesses
Qui n’espèrent plus
Ainsi qu’aux déesses
Que l’on n’a pas connues
A toutes les pécheresses
A peine retenues
Ainsi qu’aux maîtresses
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
Je veux dédier ce poème
Comme jadis à celle que l’on aime
Je sais que sous leurs silhouettes
Toujours gracieuses et fluettes
Elles regrettent les lèvres absentes
De n’avoir été que passantes
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Nous sont désormais inconnues
A toutes les femmes secrètes
Je confie cette chansonnette
Je sais que sous leurs manteaux gris
Se cache des folies pleines de vie
Que leurs mains sont encore vernies
Comme quand elles étaient petites filles
A toutes nos servantes
Que l’on a émues
Ainsi qu’aux constantes
Que l’on a déçues
A nos insolentes
A peine aperçues
Ainsi qu’aux collantes
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
Je veux effleurer leur destin
Être passager clandestin
Je sais que sous leurs cheveux gris
Se cachent une mélancolie
Qu’elles partagent avec leurs amies
Comme quand elles étaient petites filles
A nos impatientes
Que l’on n’attend plus
Ainsi qu’aux vaillantes
Que l’on entend plus
A nos innocentes
A peine dévêtues
Ainsi qu’aux savantes
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui étaient prises
Qui vivent désormais des heures grises
Je veux égayer leur chagrin
Être l’épisode du chemin
Je sais que derrière leurs yeux gris
Se cachent des amours transis
Dont elles rêvent chaque nuit
Comme quand elles étaient petites filles
A toutes nos princesses
Qui n’espèrent plus
Ainsi qu’aux déesses
Que l’on n’a pas connues
A toutes les pécheresses
A peine retenues
Ainsi qu’aux maîtresses
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
Je veux dédier ce poème
Comme jadis à celle que l’on aime
Je sais que sous leurs silhouettes
Toujours gracieuses et fluettes
Elles regrettent les lèvres absentes
De n’avoir été que passantes
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Je confie cette chansonnette
Je sais que sous leurs manteaux gris
Se cache des folies pleines de vie
Que leurs mains sont encore vernies
Comme quand elles étaient petites filles
A toutes nos servantes
Que l’on a émues
Ainsi qu’aux constantes
Que l’on a déçues
A nos insolentes
A peine aperçues
Ainsi qu’aux collantes
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
Je veux effleurer leur destin
Être passager clandestin
Je sais que sous leurs cheveux gris
Se cachent une mélancolie
Qu’elles partagent avec leurs amies
Comme quand elles étaient petites filles
A nos impatientes
Que l’on n’attend plus
Ainsi qu’aux vaillantes
Que l’on entend plus
A nos innocentes
A peine dévêtues
Ainsi qu’aux savantes
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui étaient prises
Qui vivent désormais des heures grises
Je veux égayer leur chagrin
Être l’épisode du chemin
Je sais que derrière leurs yeux gris
Se cachent des amours transis
Dont elles rêvent chaque nuit
Comme quand elles étaient petites filles
A toutes nos princesses
Qui n’espèrent plus
Ainsi qu’aux déesses
Que l’on n’a pas connues
A toutes les pécheresses
A peine retenues
Ainsi qu’aux maîtresses
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
Je veux dédier ce poème
Comme jadis à celle que l’on aime
Je sais que sous leurs silhouettes
Toujours gracieuses et fluettes
Elles regrettent les lèvres absentes
De n’avoir été que passantes
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Se cache des folies pleines de vie
Que leurs mains sont encore vernies
Comme quand elles étaient petites filles
A toutes nos servantes
Que l’on a émues
Ainsi qu’aux constantes
Que l’on a déçues
A nos insolentes
A peine aperçues
Ainsi qu’aux collantes
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
Je veux effleurer leur destin
Être passager clandestin
Je sais que sous leurs cheveux gris
Se cachent une mélancolie
Qu’elles partagent avec leurs amies
Comme quand elles étaient petites filles
A nos impatientes
Que l’on n’attend plus
Ainsi qu’aux vaillantes
Que l’on entend plus
A nos innocentes
A peine dévêtues
Ainsi qu’aux savantes
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui étaient prises
Qui vivent désormais des heures grises
Je veux égayer leur chagrin
Être l’épisode du chemin
Je sais que derrière leurs yeux gris
Se cachent des amours transis
Dont elles rêvent chaque nuit
Comme quand elles étaient petites filles
A toutes nos princesses
Qui n’espèrent plus
Ainsi qu’aux déesses
Que l’on n’a pas connues
A toutes les pécheresses
A peine retenues
Ainsi qu’aux maîtresses
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
Je veux dédier ce poème
Comme jadis à celle que l’on aime
Je sais que sous leurs silhouettes
Toujours gracieuses et fluettes
Elles regrettent les lèvres absentes
De n’avoir été que passantes
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Comme quand elles étaient petites filles
A toutes nos servantes
Que l’on a émues
Ainsi qu’aux constantes
Que l’on a déçues
A nos insolentes
A peine aperçues
Ainsi qu’aux collantes
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
Je veux effleurer leur destin
Être passager clandestin
Je sais que sous leurs cheveux gris
Se cachent une mélancolie
Qu’elles partagent avec leurs amies
Comme quand elles étaient petites filles
A nos impatientes
Que l’on n’attend plus
Ainsi qu’aux vaillantes
Que l’on entend plus
A nos innocentes
A peine dévêtues
Ainsi qu’aux savantes
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui étaient prises
Qui vivent désormais des heures grises
Je veux égayer leur chagrin
Être l’épisode du chemin
Je sais que derrière leurs yeux gris
Se cachent des amours transis
Dont elles rêvent chaque nuit
Comme quand elles étaient petites filles
A toutes nos princesses
Qui n’espèrent plus
Ainsi qu’aux déesses
Que l’on n’a pas connues
A toutes les pécheresses
A peine retenues
Ainsi qu’aux maîtresses
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
Je veux dédier ce poème
Comme jadis à celle que l’on aime
Je sais que sous leurs silhouettes
Toujours gracieuses et fluettes
Elles regrettent les lèvres absentes
De n’avoir été que passantes
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Que l’on a émues
Ainsi qu’aux constantes
Que l’on a déçues
A nos insolentes
A peine aperçues
Ainsi qu’aux collantes
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
Je veux effleurer leur destin
Être passager clandestin
Je sais que sous leurs cheveux gris
Se cachent une mélancolie
Qu’elles partagent avec leurs amies
Comme quand elles étaient petites filles
A nos impatientes
Que l’on n’attend plus
Ainsi qu’aux vaillantes
Que l’on entend plus
A nos innocentes
A peine dévêtues
Ainsi qu’aux savantes
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui étaient prises
Qui vivent désormais des heures grises
Je veux égayer leur chagrin
Être l’épisode du chemin
Je sais que derrière leurs yeux gris
Se cachent des amours transis
Dont elles rêvent chaque nuit
Comme quand elles étaient petites filles
A toutes nos princesses
Qui n’espèrent plus
Ainsi qu’aux déesses
Que l’on n’a pas connues
A toutes les pécheresses
A peine retenues
Ainsi qu’aux maîtresses
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
Je veux dédier ce poème
Comme jadis à celle que l’on aime
Je sais que sous leurs silhouettes
Toujours gracieuses et fluettes
Elles regrettent les lèvres absentes
De n’avoir été que passantes
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Que l’on a déçues
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A peine aperçues
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Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
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Je veux effleurer leur destin
Être passager clandestin
Je sais que sous leurs cheveux gris
Se cachent une mélancolie
Qu’elles partagent avec leurs amies
Comme quand elles étaient petites filles
A nos impatientes
Que l’on n’attend plus
Ainsi qu’aux vaillantes
Que l’on entend plus
A nos innocentes
A peine dévêtues
Ainsi qu’aux savantes
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui étaient prises
Qui vivent désormais des heures grises
Je veux égayer leur chagrin
Être l’épisode du chemin
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Se cachent des amours transis
Dont elles rêvent chaque nuit
Comme quand elles étaient petites filles
A toutes nos princesses
Qui n’espèrent plus
Ainsi qu’aux déesses
Que l’on n’a pas connues
A toutes les pécheresses
A peine retenues
Ainsi qu’aux maîtresses
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
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Comme jadis à celle que l’on aime
Je sais que sous leurs silhouettes
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De n’avoir été que passantes
Paroles et musique : Bruno V.
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Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
A peine aperçues
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A toutes celles qui dans la rue
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Être passager clandestin
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Comme quand elles étaient petites filles
A nos impatientes
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Ainsi qu’aux vaillantes
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A toutes celles qui étaient prises
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Je veux égayer leur chagrin
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Se cachent des amours transis
Dont elles rêvent chaque nuit
Comme quand elles étaient petites filles
A toutes nos princesses
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Que l’on n’a pas connues
A toutes les pécheresses
A peine retenues
Ainsi qu’aux maîtresses
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
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Comme jadis à celle que l’on aime
Je sais que sous leurs silhouettes
Toujours gracieuses et fluettes
Elles regrettent les lèvres absentes
De n’avoir été que passantes
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
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Être passager clandestin
Je sais que sous leurs cheveux gris
Se cachent une mélancolie
Qu’elles partagent avec leurs amies
Comme quand elles étaient petites filles
A nos impatientes
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Que l’on entend plus
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Je veux égayer leur chagrin
Être l’épisode du chemin
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Se cachent des amours transis
Dont elles rêvent chaque nuit
Comme quand elles étaient petites filles
A toutes nos princesses
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A toutes les pécheresses
A peine retenues
Ainsi qu’aux maîtresses
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A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
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Comme jadis à celle que l’on aime
Je sais que sous leurs silhouettes
Toujours gracieuses et fluettes
Elles regrettent les lèvres absentes
De n’avoir été que passantes
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
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Être passager clandestin
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Se cachent une mélancolie
Qu’elles partagent avec leurs amies
Comme quand elles étaient petites filles
A nos impatientes
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Ainsi qu’aux vaillantes
Que l’on entend plus
A nos innocentes
A peine dévêtues
Ainsi qu’aux savantes
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui étaient prises
Qui vivent désormais des heures grises
Je veux égayer leur chagrin
Être l’épisode du chemin
Je sais que derrière leurs yeux gris
Se cachent des amours transis
Dont elles rêvent chaque nuit
Comme quand elles étaient petites filles
A toutes nos princesses
Qui n’espèrent plus
Ainsi qu’aux déesses
Que l’on n’a pas connues
A toutes les pécheresses
A peine retenues
Ainsi qu’aux maîtresses
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
Je veux dédier ce poème
Comme jadis à celle que l’on aime
Je sais que sous leurs silhouettes
Toujours gracieuses et fluettes
Elles regrettent les lèvres absentes
De n’avoir été que passantes
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Être passager clandestin
Je sais que sous leurs cheveux gris
Se cachent une mélancolie
Qu’elles partagent avec leurs amies
Comme quand elles étaient petites filles
A nos impatientes
Que l’on n’attend plus
Ainsi qu’aux vaillantes
Que l’on entend plus
A nos innocentes
A peine dévêtues
Ainsi qu’aux savantes
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui étaient prises
Qui vivent désormais des heures grises
Je veux égayer leur chagrin
Être l’épisode du chemin
Je sais que derrière leurs yeux gris
Se cachent des amours transis
Dont elles rêvent chaque nuit
Comme quand elles étaient petites filles
A toutes nos princesses
Qui n’espèrent plus
Ainsi qu’aux déesses
Que l’on n’a pas connues
A toutes les pécheresses
A peine retenues
Ainsi qu’aux maîtresses
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
Je veux dédier ce poème
Comme jadis à celle que l’on aime
Je sais que sous leurs silhouettes
Toujours gracieuses et fluettes
Elles regrettent les lèvres absentes
De n’avoir été que passantes
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Se cachent une mélancolie
Qu’elles partagent avec leurs amies
Comme quand elles étaient petites filles
A nos impatientes
Que l’on n’attend plus
Ainsi qu’aux vaillantes
Que l’on entend plus
A nos innocentes
A peine dévêtues
Ainsi qu’aux savantes
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui étaient prises
Qui vivent désormais des heures grises
Je veux égayer leur chagrin
Être l’épisode du chemin
Je sais que derrière leurs yeux gris
Se cachent des amours transis
Dont elles rêvent chaque nuit
Comme quand elles étaient petites filles
A toutes nos princesses
Qui n’espèrent plus
Ainsi qu’aux déesses
Que l’on n’a pas connues
A toutes les pécheresses
A peine retenues
Ainsi qu’aux maîtresses
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
Je veux dédier ce poème
Comme jadis à celle que l’on aime
Je sais que sous leurs silhouettes
Toujours gracieuses et fluettes
Elles regrettent les lèvres absentes
De n’avoir été que passantes
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Comme quand elles étaient petites filles
A nos impatientes
Que l’on n’attend plus
Ainsi qu’aux vaillantes
Que l’on entend plus
A nos innocentes
A peine dévêtues
Ainsi qu’aux savantes
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui étaient prises
Qui vivent désormais des heures grises
Je veux égayer leur chagrin
Être l’épisode du chemin
Je sais que derrière leurs yeux gris
Se cachent des amours transis
Dont elles rêvent chaque nuit
Comme quand elles étaient petites filles
A toutes nos princesses
Qui n’espèrent plus
Ainsi qu’aux déesses
Que l’on n’a pas connues
A toutes les pécheresses
A peine retenues
Ainsi qu’aux maîtresses
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
Je veux dédier ce poème
Comme jadis à celle que l’on aime
Je sais que sous leurs silhouettes
Toujours gracieuses et fluettes
Elles regrettent les lèvres absentes
De n’avoir été que passantes
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Que l’on n’attend plus
Ainsi qu’aux vaillantes
Que l’on entend plus
A nos innocentes
A peine dévêtues
Ainsi qu’aux savantes
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui étaient prises
Qui vivent désormais des heures grises
Je veux égayer leur chagrin
Être l’épisode du chemin
Je sais que derrière leurs yeux gris
Se cachent des amours transis
Dont elles rêvent chaque nuit
Comme quand elles étaient petites filles
A toutes nos princesses
Qui n’espèrent plus
Ainsi qu’aux déesses
Que l’on n’a pas connues
A toutes les pécheresses
A peine retenues
Ainsi qu’aux maîtresses
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
Je veux dédier ce poème
Comme jadis à celle que l’on aime
Je sais que sous leurs silhouettes
Toujours gracieuses et fluettes
Elles regrettent les lèvres absentes
De n’avoir été que passantes
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Que l’on entend plus
A nos innocentes
A peine dévêtues
Ainsi qu’aux savantes
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui étaient prises
Qui vivent désormais des heures grises
Je veux égayer leur chagrin
Être l’épisode du chemin
Je sais que derrière leurs yeux gris
Se cachent des amours transis
Dont elles rêvent chaque nuit
Comme quand elles étaient petites filles
A toutes nos princesses
Qui n’espèrent plus
Ainsi qu’aux déesses
Que l’on n’a pas connues
A toutes les pécheresses
A peine retenues
Ainsi qu’aux maîtresses
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
Je veux dédier ce poème
Comme jadis à celle que l’on aime
Je sais que sous leurs silhouettes
Toujours gracieuses et fluettes
Elles regrettent les lèvres absentes
De n’avoir été que passantes
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
A peine dévêtues
Ainsi qu’aux savantes
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui étaient prises
Qui vivent désormais des heures grises
Je veux égayer leur chagrin
Être l’épisode du chemin
Je sais que derrière leurs yeux gris
Se cachent des amours transis
Dont elles rêvent chaque nuit
Comme quand elles étaient petites filles
A toutes nos princesses
Qui n’espèrent plus
Ainsi qu’aux déesses
Que l’on n’a pas connues
A toutes les pécheresses
A peine retenues
Ainsi qu’aux maîtresses
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
Je veux dédier ce poème
Comme jadis à celle que l’on aime
Je sais que sous leurs silhouettes
Toujours gracieuses et fluettes
Elles regrettent les lèvres absentes
De n’avoir été que passantes
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui étaient prises
Qui vivent désormais des heures grises
Je veux égayer leur chagrin
Être l’épisode du chemin
Je sais que derrière leurs yeux gris
Se cachent des amours transis
Dont elles rêvent chaque nuit
Comme quand elles étaient petites filles
A toutes nos princesses
Qui n’espèrent plus
Ainsi qu’aux déesses
Que l’on n’a pas connues
A toutes les pécheresses
A peine retenues
Ainsi qu’aux maîtresses
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
Je veux dédier ce poème
Comme jadis à celle que l’on aime
Je sais que sous leurs silhouettes
Toujours gracieuses et fluettes
Elles regrettent les lèvres absentes
De n’avoir été que passantes
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Qui vivent désormais des heures grises
Je veux égayer leur chagrin
Être l’épisode du chemin
Je sais que derrière leurs yeux gris
Se cachent des amours transis
Dont elles rêvent chaque nuit
Comme quand elles étaient petites filles
A toutes nos princesses
Qui n’espèrent plus
Ainsi qu’aux déesses
Que l’on n’a pas connues
A toutes les pécheresses
A peine retenues
Ainsi qu’aux maîtresses
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
Je veux dédier ce poème
Comme jadis à celle que l’on aime
Je sais que sous leurs silhouettes
Toujours gracieuses et fluettes
Elles regrettent les lèvres absentes
De n’avoir été que passantes
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Être l’épisode du chemin
Je sais que derrière leurs yeux gris
Se cachent des amours transis
Dont elles rêvent chaque nuit
Comme quand elles étaient petites filles
A toutes nos princesses
Qui n’espèrent plus
Ainsi qu’aux déesses
Que l’on n’a pas connues
A toutes les pécheresses
A peine retenues
Ainsi qu’aux maîtresses
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
Je veux dédier ce poème
Comme jadis à celle que l’on aime
Je sais que sous leurs silhouettes
Toujours gracieuses et fluettes
Elles regrettent les lèvres absentes
De n’avoir été que passantes
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Se cachent des amours transis
Dont elles rêvent chaque nuit
Comme quand elles étaient petites filles
A toutes nos princesses
Qui n’espèrent plus
Ainsi qu’aux déesses
Que l’on n’a pas connues
A toutes les pécheresses
A peine retenues
Ainsi qu’aux maîtresses
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
Je veux dédier ce poème
Comme jadis à celle que l’on aime
Je sais que sous leurs silhouettes
Toujours gracieuses et fluettes
Elles regrettent les lèvres absentes
De n’avoir été que passantes
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Comme quand elles étaient petites filles
A toutes nos princesses
Qui n’espèrent plus
Ainsi qu’aux déesses
Que l’on n’a pas connues
A toutes les pécheresses
A peine retenues
Ainsi qu’aux maîtresses
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
Je veux dédier ce poème
Comme jadis à celle que l’on aime
Je sais que sous leurs silhouettes
Toujours gracieuses et fluettes
Elles regrettent les lèvres absentes
De n’avoir été que passantes
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Qui n’espèrent plus
Ainsi qu’aux déesses
Que l’on n’a pas connues
A toutes les pécheresses
A peine retenues
Ainsi qu’aux maîtresses
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
Je veux dédier ce poème
Comme jadis à celle que l’on aime
Je sais que sous leurs silhouettes
Toujours gracieuses et fluettes
Elles regrettent les lèvres absentes
De n’avoir été que passantes
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Que l’on n’a pas connues
A toutes les pécheresses
A peine retenues
Ainsi qu’aux maîtresses
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
Je veux dédier ce poème
Comme jadis à celle que l’on aime
Je sais que sous leurs silhouettes
Toujours gracieuses et fluettes
Elles regrettent les lèvres absentes
De n’avoir été que passantes
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
A peine retenues
Ainsi qu’aux maîtresses
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
Je veux dédier ce poème
Comme jadis à celle que l’on aime
Je sais que sous leurs silhouettes
Toujours gracieuses et fluettes
Elles regrettent les lèvres absentes
De n’avoir été que passantes
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Que l’on a perdues de vue
A toutes celles qui dans la rue
Nous sont désormais inconnues
Je veux dédier ce poème
Comme jadis à celle que l’on aime
Je sais que sous leurs silhouettes
Toujours gracieuses et fluettes
Elles regrettent les lèvres absentes
De n’avoir été que passantes
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Nous sont désormais inconnues
Je veux dédier ce poème
Comme jadis à celle que l’on aime
Je sais que sous leurs silhouettes
Toujours gracieuses et fluettes
Elles regrettent les lèvres absentes
De n’avoir été que passantes
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Comme jadis à celle que l’on aime
Je sais que sous leurs silhouettes
Toujours gracieuses et fluettes
Elles regrettent les lèvres absentes
De n’avoir été que passantes
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Toujours gracieuses et fluettes
Elles regrettent les lèvres absentes
De n’avoir été que passantes
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
De n’avoir été que passantes
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Paroles et musique : Bruno V.
Arrangements : Bruno V.
Boucles musicales : Garage Band et Aturri studio
Bruno V. - Voix
Serge Bianne - Basse
Olivier Quesada - Batterie
Mix: Serge Bianne (Studio Aturri Mouguerre)
17 janvier et 18 avril 2023